Nous choisissons donc notre garde-robe en conséquence, en mêlant adroitement du "pour chaud" et du "pour frais". La penderie du Mercos déborde un peu ...
Les pleins sont fait, restera à compléter la bouteille de GPL, en prévision des petites coups de chauffage matinaux qui se profilent.
Allons, en route !
Mercredi 29 mai
Impossible de faire un tour en région Rhône Alpes sans passer dire un petit bonjour à la famille, près de Valence.
Pour y aller, nous avons prévu deux jours. Ce mercredi, nous poussons d'abord jusqu'à La Canourgue, en Lozère.
Nous sommes souvent passé près de cette petite ville, sans jamais nous y arrêter. Dommage, car celle qu'on appelle la "petite Venise lozérienne" mérite bien une visite.
L'Urugne, la rivière qui traverse la ville, est en effet présente partout, se glissant sous une multitude ponts et de maisons, et agrémentée d'animaux surprenant.
L'architecture du centre moyenâgeux est aussi remarquable
Au Tabac- Journaux du coin, nous trouvons un petit guide, édité par le Midi Libre, très bien documenté, et qui nous sera sans doute fort utile dans nos prochaines balades.
Après cette découverte, nous continuons la route vers l' Ardèche voisine, faisons un clin d'oeil au mont Gerbier de Jonc
avant de bivouaquer aux Estables, quelques kilomètres plus loin.
Jeudi 30 mai
Brrrr ... ce matin, dans cette petite station de ski, il fait à peine 6°. Nous entamons donc la réserve de GPL ...
De plus, la météo est peu engageante, c'était prévu, mais nous espérions un miracle ...
Nous quittons les Estables et choisissons de traverser plein est, par Le Chaylard et Lamastre pour rejoindre Valence.
Très jolie route, qui aurait été plus agréable encore avec du soleil, un peu tourmentée, étroite, pour tout dire difficile
mais qui permet de découvrir de beaux villages, comme celui de Borée
ou un site étonnant nous transporte, un moment, en pays breton !
Enfin, voici Valence et nous passons deux journées agréables en famille.
Vendredi 31 mai
J'avais été séduit par le peu que j'en avais vu.
Nous prenons donc la direction de Die, puis allons jusqu'à Mens,via Châtillon en Diois, puis Clelles, en passant par le col de Menée, et déjà la montagne s'impose à nous.
Mens est surmontée de sommets encore enneigés
Un grand parking nous tend les brins d'herbe, et nous nous y installons.
Après un moment à flâner dans la ville, et alors que le soir colore les montagnes
nous nous préparons pour une bonne nuit.
Samedi 1er juin
Jour de marché à Mens.
Nous profitons de l'ambiance de ces endroits qui réunissent les habitants des alentours, et nous y faisons quelques emplettes.
Puis nous entamons la montée vers N.D. de la Salette, au milieu d'un décor minéral d'une beauté fascinante.
Le site est exceptionnel. En dehors de l'aspect religieux, le décor, les bâtiments, la ferveur des pèlerins, en font un endroit hors du temps.
Après avoir parcouru les différents endroits qui composent ce lieu de pèlerinage, nous redescendons jusqu'au lac du Sautet, ou nous prenons le repas de midi.
Bien sur, Igor, après avoir hésité, j'y vais, j'y vais pas ...
ne peut pas résister à l'appel du bain
Du barrage, le lac parait bien vide.
Deux papys pêcheurs m'explique que c'est normal, une vidange partielle a été faite, en prévision de la fonte de la neige tombée en abondance en ce début de printemps.
Le barrage propose aussi une via ferrata, déjà bien fréquentée.
Nous continuons jusqu' à la source des Gillardes, une des résurgences les plus importantes, jaillisant d'un chaos de pierre et alimentant la rivière Souloise, que l'on atteint facilement par un joli chemin boisé.
Puis nous poussons jusqu'à la Mère Eglise, la plus ancienne chapelle romane des Alpes, datant du XI ème siècle.
Un peu partout, des gorges profondes, comme celle des Etroits, permettent aux amateurs de via ferratas, de profiter d'endroits exceptionnels.
Nous trouvons, difficilement, un parking pour bivouaquer, dans le village de Veynes.
Dimanche 2 juin
Après cette intrusion dans les Hautes Alpes, nous repartons vers l'ouest, pour rejoindre notre principale destination, le Vercors.
Repassant par Die, nous passons un moment dans la ville, en profitant pour quelques achats.
Nous entrons dans cette forteresse naturelle qu'est le Vercors par le col du Rousset. Nous déjeunons sur le parking de la station de ski qui s'y trouve.
Puis nous rejoignons Saint Agnan d'ou part la randonnée que nous faisons, laissant le Mercos au bord de la rivière qui nous servira de bivouac.
Cette randonnée nous fait parcourir les alentours, et passer près de superbes gîtes qui, de toute évidence, sont chauffés au bois.
Le Vercors est très fourni en balades et randonnées en tous genres. La signalétique est remarquable, le balisage clair.
Le site Vercors Rando, très bien fait, est d'une aide précieuse.
Lundi 3 juin
Notre campement était bordé d'une petite route très calme, nous y avons bien dormi.
Des randonneurs ont installé leurs tentes dans la nuit, nous ne les avons pas entendu !
Nous avons de la visite pendant notre petit déjeuner.
Après un tour à La Chapelle en Vercors, pour quelques courses et un moment de recueillement dans la cour des fusillés, dans ce haut lieu de la résistance durant la dernière guerre.
nous gagnons la vallée de Loscence pour y faire une superbe randonnée, celle du Belvédère de Révoulat.
Celle ci propose des panoramas exceptionnels sur les montagnes , et ouvre une perspective impressionnante sur le Vercors Drômois.
tout cela par de beaux chemins fleuris.
Au retour, la vue sur la route des Grands Goulets est impressionnante. Celle-ci est condamnée, et la traversée se fait par le tunnel, que nous emprunterons plusieurs fois.
Retour au camion, Igor est exténué, et assoiffé !
Nous passons quelques instants à Saint Martin, ou trône un arbre historique
avant de rejoindre le hameau des Moreaux et son parking, pas top, mais commode pour notre rando de demain.
Mardi 4 juin
Encore une bonne nuit, le soleil est bien présent lors de notre départ pour la balade du jour.
Celle-ci part du hameau de Tourtre tout proche, passe par Saint Martin et nous ramène au point de départ 3 petites heures plus tard.
Nous y faisons quelques rencontres sympathiques
profitons de cette belle montagne
ou l'eau est omniprésente
Après avoir rejoint le Mercos vers midi, nous poussons jusqu'à Sainte Eulalie et y déjeunons sous les noyers, près du cimetière.
Nous visitons ensuite Saint Jean en Royans, puis gagnons, par la route des Petits Goulets, qui bien qu'autorisée jusqu'à 3,5 mètres de hauteur, me fait serrer les fesses plus d'une fois, notre bivouac de ce soir.
Celui-ci se situe au pied de l'église d'Echevis, entre les Grands et les Petits Goulets.
On devrait y être bien.
Mercredi 5 juin
Comme souvent dans les villages, les cloches de l'église ne sonnent pas entre 22 et 7 heures, laissant au randonneur fatigué le loisir d'un repos bien mérité.
Réveil, lever, déjeuner, toilette, et en route pour de nouveaux paysages !
Cette randonnée, Les Saffrières par le Banc de Gardes, présente dès son début, une sacrée grimpette ...
Rapidement, nous surplombons notre bivouac et sa vallée.
Ici, une pisciculture ou les truites nous donnent rendez-vous pour déjeuner !
De beaux paysages, bien sur, ou l'on devine encore les anciennes terrasses cultivées.
Et encore et toujours de l'eau jaillissant de terre
Le regard porte loin
Quelques cerises qui feront notre bonheur gourmand
Nous nous faisons de nouvelles connaissances
Monsieur Papillon fait une cour effrénée à sa chérie
ATTENTION, L'IMAGE SUIVANTE EST DÉCONSEILLÉE AUX ENFANTS DE MOINS DE 12 ANS
Après 3 heures d'effort, nous voila revenus à notre point de départ
Il est un peu tôt pour le déjeuner, nous reprenons donc la route non sans avoir refait le plein d'eau à la fontaine toute proche.
Nous passons par la pisciculture ou nous faisons l'achat de deux truites fraîches.
Prochain arrêt, Pont en Royans et son parking au bord de la Bourne, interdit aux camping-cars ...
La curiosité du lieu, ce sont ses "maisons suspendues" au dessus de la rivière.
Laquelle rivière est fort fréquentée
Il est temps de passer à table, les truites sont juste poêlées, un peu de sel, un peu de poivre, un régal.
Nous avons bien mérité une petite sieste, avant de repartir, en prenant la route qui permet de découvrir les Gorges de la Bourne
Si, si, les 2,95m du Mercos passent. Ouf !
Encore de l'eau, en cascade, au fond d'un petit cirque, en bord de route.
Nous atteignons Lans en Vercors, puis Villars de Lans . De là, nous montons jusqu'au Col de la Croix Perrin.
Une petite route forestière part du col, étroite et au revêtement souvent dégradé, et après 12 kilomètres, débouche sur le superbe plateau de la Molière.
Quelques voitures sont encore sur le parking, nous nous garons sur la partie basse de celui-ci.
Il faut monter encore un peu, à pied, pour découvrir le splendide panorama que permet ce site, sur les Alpes.
Gros plan sur les Ecrins
et sur la Meige
repérés grâce à une passionnante table d'orientation
Petit à petit, les randonneurs s'éclipsent, nous laissant seuls sur le parking.
Une dernière balade alors que le soir tombe. Au loin, les sommets enneigés, et le refuge de la Molière.
Ici encore, pas de problème pour trouver de l'eau.
D'ici partent de nombreuses randonnées, et comme partout dans le Vercors, la signalétique est au top !
Il est l'heure de se glisser sous la couette, les prévisions météo sont pessimistes pour demain. Tant pis, nous en avons déjà pris plein les mirettes.
Jeudi 6 juin
La pluie est tombée une partie de la nuit, et elle tombe encore au réveil. La couleur du ciel ne laisse pas présager d'éclaircies.
C'est un peu déçus de ne pouvoir profiter de ce site exceptionnel, que nous levons le camp.
Nous retraversons le plateau vers le sud ouest, pour finir dans la jolie vallée de Léoncel.
Un parking nous accueille, il propose des toilettes et une information complète sur les alentours.
De nouveau, une belle balade nous permet de découvrir la richesse de cette vallée enchanteresse, alors que le soleil fait son grand retour.
Comme partout dans cette contrée, les vaches sont omniprésentes, presque toutes de race Montbéliarde.
Dès le début, et comme toujours en montagne, il faut monter. Cela permet de mieux profiter de la beauté de l'abbaye qui est l'attraction du village de Léoncel.
La promenade continue, alternant petits chemins et larges pistes.
En prenant de la hauteur, nous profitons du panorama sur la vallée.
ce qui nous permet de surveiller le camion à distance ...
La pluie a fait sortir les escargots de Bourgogne, magnifiques.
De retour dans la plaine, le village se dessine au loin.
Au bout de deux bonnes heures, nous rejoignons l'abbaye.
Celle-ci est gardée par un féroce cerbère
un peu intrigué par notre visite
Une visite s'impose
avant de repartir de ce bel endroit.
Nous sommes tout prêt de Valence, il suffit de passer le col et nous serons, ce soir, de nouveau en famille.
Vendredi 7 juin
Une soirée en famille, c'est toujours une bonne coupure dans un petit voyage, avec une bonne et vraie douche bien chaude en prime ...
Mais il est temps de reprendre la route, du retour cette fois.
Mais j'ai prévu de couper au moins en trois les 500 kilomètres qui nous séparent de la maison.
Il est temps d'utiliser le petit guide dont j'ai parlé au début de ce récit (y'en a qui suivent pas ...).
Donc, une étape en Margeride, une autre sur l'Aubrac, pour perdre de l'altitude de façon progressive.
En Margeride, ce sera à Arzenc de Randon ou le petit guide propose une ballade de 8 kilomètres, appétissante.
Nous y arrivons en fin d'après-midi, et après une visite rapide du village, et de ses façades rappelant un temps révolu
nous trouvons, après avoir passer la rivière Le Chapeauroux
un lieu de bivouac très acceptable, sur le parking de la salle des fêtes.
Samedi 8 juin
Encore un matin ensoleillé, il faut en profiter, il semble que cela ne va pas durer.
Un autre en profite d'ailleurs, Monsieur lièvre, qui, pendant notre petit déjeuner, traverse le parking d'un pas nonchalant avant de disparaître dans l'herbe.
Le temps que j'attrape mon appareil photo ...
La balade du jour se présente bien
Nous sommes prêts, arnachés, sacadosrisés, alors c'est parti.
De nouveau, la nature nous offre ce qu'elle a de mieux, paysages, animaux, l'eau dans tous ses états, elle n'est vraiment pas rancunière ...
Le sol est tapissé de bruyère en fleur et de myrtilliers prometteurs
Ici aussi, le regard porte loin
Et les vaches ne regardent pas passer que les trains
Et toujours le Chapeauroux qui serpente langoureusement dans sa vallée
Trois bonnes heures de plaisir, les muscles, les genoux, ont pris le rythme et ne pose plus problème.
Il est temps de repartir , pour le plateau de l'Aubrac cette fois.
Mais avant, je voudrai faire connaissance avec ce Randon qui donne son nom à nombre de villages de cette région.
Direction donc pour le Signal de Randon, le point presque le plus haut de la Margeride.
Drôle d'endroit, parsemé de ruines et d'étranges cônes, de blocs de granit colossaux, surmonté d'antennes, un vrai décor de film
Mais c'est quelques centaines de mètres plus loin que se trouve le Truc de Fortunio, qui est, lui, le point culminant du plateau.
Bien sur, il est utilisé par une antenne hertzienne monumentale
son parking ferait un bivouac original
Une superbe table d'orientation trône au plus haut du site
elle rappelle l'altitude et les coordonnées géographiques
et permet de situer les principaux sommets de la région, le Gerbier de Jonc et le Mont Mézenc
et à l'opposé, le Plomb du Cantal
Il s'agit aussi d'un lieu historique
C'est un endroit, lors de vos visites dans la région, qui vaut vraiment le détour.
Mais on est pas d'ici, il faut repartir.
Une fois l'autoroute A75 passé, le paysage ne trompe pas, nous sommes en Aubrac
Voici d'ailleurs le village d'Aubrac, envahis par les randonneurs, quelques pèlerins de Saint Jacques, et par les bobos en tous genres qui ont fait du lieu le dernier endroit à la mode.
A quelques kilomètres, et un peu plus bas dans la vallée, nous trouvons à nous garer de nouveau sur le parking de la salle des fêtes de Saint Chély d'Aubrac (à ne pas confondre avec Saint Chély d'Apcher ...).
Je finis l'après-midi par une visite du village, et son architecture rustique
L'intérieur de l'église possède d'originales mezzanines
Nous avons été rejoint par deux autres camping-cars, ici, ce n'est pas la foule, tant mieux.
Samedi 11 juin
C'était prévu, la pluie est au rendez-vous depuis le milieu de la nuit. La randonnée n'aura pas lieu, il ne nous reste qu'à rentrer au plus vite.
Une dernière rencontre avec un petit troupeau de vaches Aubrac en transhumance vers les plateaux
et deux heures et demie plus tard, je coupe le contact du Mercos, qui, une fois de plus, a bien fait le job, dans la cour de la maison.
Une soirée en famille, c'est toujours une bonne coupure dans un petit voyage, avec une bonne et vraie douche bien chaude en prime ...
Mais il est temps de reprendre la route, du retour cette fois.
Mais j'ai prévu de couper au moins en trois les 500 kilomètres qui nous séparent de la maison.
Il est temps d'utiliser le petit guide dont j'ai parlé au début de ce récit (y'en a qui suivent pas ...).
Donc, une étape en Margeride, une autre sur l'Aubrac, pour perdre de l'altitude de façon progressive.
En Margeride, ce sera à Arzenc de Randon ou le petit guide propose une ballade de 8 kilomètres, appétissante.
Nous y arrivons en fin d'après-midi, et après une visite rapide du village, et de ses façades rappelant un temps révolu
nous trouvons, après avoir passer la rivière Le Chapeauroux
un lieu de bivouac très acceptable, sur le parking de la salle des fêtes.
Samedi 8 juin
Encore un matin ensoleillé, il faut en profiter, il semble que cela ne va pas durer.
Un autre en profite d'ailleurs, Monsieur lièvre, qui, pendant notre petit déjeuner, traverse le parking d'un pas nonchalant avant de disparaître dans l'herbe.
Le temps que j'attrape mon appareil photo ...
La balade du jour se présente bien
Nous sommes prêts, arnachés, sacadosrisés, alors c'est parti.
De nouveau, la nature nous offre ce qu'elle a de mieux, paysages, animaux, l'eau dans tous ses états, elle n'est vraiment pas rancunière ...
Le sol est tapissé de bruyère en fleur et de myrtilliers prometteurs
Ici aussi, le regard porte loin
Et les vaches ne regardent pas passer que les trains
Et toujours le Chapeauroux qui serpente langoureusement dans sa vallée
Trois bonnes heures de plaisir, les muscles, les genoux, ont pris le rythme et ne pose plus problème.
Il est temps de repartir , pour le plateau de l'Aubrac cette fois.
Mais avant, je voudrai faire connaissance avec ce Randon qui donne son nom à nombre de villages de cette région.
Direction donc pour le Signal de Randon, le point presque le plus haut de la Margeride.
Drôle d'endroit, parsemé de ruines et d'étranges cônes, de blocs de granit colossaux, surmonté d'antennes, un vrai décor de film
Mais c'est quelques centaines de mètres plus loin que se trouve le Truc de Fortunio, qui est, lui, le point culminant du plateau.
Bien sur, il est utilisé par une antenne hertzienne monumentale
son parking ferait un bivouac original
Une superbe table d'orientation trône au plus haut du site
elle rappelle l'altitude et les coordonnées géographiques
et permet de situer les principaux sommets de la région, le Gerbier de Jonc et le Mont Mézenc
et à l'opposé, le Plomb du Cantal
Il s'agit aussi d'un lieu historique
C'est un endroit, lors de vos visites dans la région, qui vaut vraiment le détour.
Mais on est pas d'ici, il faut repartir.
Une fois l'autoroute A75 passé, le paysage ne trompe pas, nous sommes en Aubrac
Voici d'ailleurs le village d'Aubrac, envahis par les randonneurs, quelques pèlerins de Saint Jacques, et par les bobos en tous genres qui ont fait du lieu le dernier endroit à la mode.
A quelques kilomètres, et un peu plus bas dans la vallée, nous trouvons à nous garer de nouveau sur le parking de la salle des fêtes de Saint Chély d'Aubrac (à ne pas confondre avec Saint Chély d'Apcher ...).
Je finis l'après-midi par une visite du village, et son architecture rustique
L'intérieur de l'église possède d'originales mezzanines
Nous avons été rejoint par deux autres camping-cars, ici, ce n'est pas la foule, tant mieux.
Samedi 11 juin
C'était prévu, la pluie est au rendez-vous depuis le milieu de la nuit. La randonnée n'aura pas lieu, il ne nous reste qu'à rentrer au plus vite.
Une dernière rencontre avec un petit troupeau de vaches Aubrac en transhumance vers les plateaux
et deux heures et demie plus tard, je coupe le contact du Mercos, qui, une fois de plus, a bien fait le job, dans la cour de la maison.