mardi 5 août 2025

La fraîcheur en Bretagne, juillet 2025

Voilà, nous y sommes.

Au climat de plus en plus chaud, de plus en plus tôt, dès le printemps cette année.

37, 40, les nuits à 23, difficile à supporter, l'age n'arrangeant rien à l'affaire.

Profitant de 2 ou 3 jours plus frais, qui rendront la route plus agréable, nous repartons donc pour la Bretagne où la fraîcheur est de mise, même si des records ont été battus cette année aussi.

Lundi 7 juillet

Pas de baguenaudages (j'adore ce mot !), c'est par les grandes routes que nous partons ventre à terre.

Cahors, Brive, Limoges, après 360 kilomètres en 6 heures de conduite, nous choisissons Nieul l'Espoir, à quelques encablures de Poitiers, pour un bivouac bien agréable sur une aire spécialement dédiée à nos véhicules, au milieu d'un superbe parc arboré et aquatique.




 Nous y passons une nuit reposante.

Mardi 8 juillet

De nouveau sur la route, déjeuner à Saint Sauveur de Givre en Mai , curieux nom, au pied de l'église du même nom.

Très beau monument roman du XIIème siècle, à la charpente originale.




 Après 300 kilomètres supplémentaires, nous voici au bord du golfe du Morbihan. 

Un joli spot nous attendait au Hézo, nous y serons seuls pour la nuit.

Avant celà, une soirée musicale se déroule au village. L'organisatrice nous ayant invité, nous passons un moment agréable au milieu des habitants, en compagnie d'une chanteuse aux cheveux bleus et devant, bien sur, crêpes au caramel et bolée de cidre.



 

Et avec, en prime, un sublime coucher de soleil sur le golfe.


 

 Mercredi 9 juillet

C'est jour de marché à Vannes, impossible de rater ça. 

Nous y passons une grande partie de la matinée, sans rien acheter car les prix ici sont stratosphériques, adaptés à la clientèle bobo qui a envahi ce coin de Bretagne.


 

Je craque quand même pour quelques kouign aman, trois pour le prix de deux, c'est une affaire !

Nous finissons la matinée par un tour dans la ville, toujours aussi belle.





 Toujours aussi compliqué de trouver des bivouacs dans cette région, tous les parkings ou presque sont limités en hauteur, interdits ou payants.

Heureusement, P4N est là pour nous dénicher quelques endroits encore pratiquables pour nos fourgons au petit gabarit.

C'est le cas sur le parking de la Pointe de Blaire, à Baden, où nous stationnons à l'ombre des pins, à 50 mètres de l'eau.




 Jeudi 10 juillet

Farniente aujourd'hui, lever tardif, bain de mer, et cueillette de quelques huîtres que je fais cuire façon marinière.

Nous faisons tout de même le tour de la pointe par le chemin piétonnier, découvrant ici et là de beaux poits de vue ou de petits manoirs bien jolis.




 Nous quittons cet endroit accueillant, je le recommande, pour continuer vers l'ouest. Mais ici, pour aller à l'ouest, il faut d'abord aller au nord jusqu'à Auray, passer le pont sur la rivière, puis redescendre cap au sud.

Il est temps de faire vidanges et plein d'eau, une aire est disponible à Saint Philibert moyennant 1,5 euros.

Hélas, le jeton est à prendre à la mairie qui ferme à 17 heures ! On verra ça demain.

Nous sommes tout proche de notre bivouac de ce soir, le grand parking de la plage de Men Er Beneg. 


 18 heures, beaucoup de monde, la marée haute étant tardive ces temps-ci.

Une belle place à l'ombre des pins majestueux nous attend, nous y passerons une bonne nuit. 

  

Auparavant, une petite promenade et surtout, un bon bain, dans une eau très fraîche, mais revigorante.



 Vendredi 11 juillet

 Après avoir fait un saut jusqu'à l'aire de service, la mairie était ouverte cette fois, nous revenons nous garer au même endroit, il nous plait bien.

De nouveau, balade sur le sentier côtier, le paysage est toujours aussi "carte postale".




 La marée est basse à 14H30, je vais donc taquiner huîtres et palourdes.

Des huîtres, j'en avais déjà cueilli deux douzaines hier. 

Comme je les digère de moins moins bien crues, je les fait ouvrir comme des moules, puis nous les dégustons froides, décoquillées bien sur, avec une vinaigrette légère.



Elles se marient très bien avec une anisette bien fraîche !

Encore deux douzaines donc ce matin, avec une grosses poignée de palourdes qui sont mises à déssabler.

Nous étions venus chercher la fraîcheur, pour l'instant, c'est raté. 30 dehors, 32 dans le Mercos. Une légère brise rend la situation acceptable dès que l'ombre s'épaissie sur le fourgon.

La mer remonte lentement, le bain sera le bienvenu ...

Ce soir, nous restons sous les pins.

Mais le WE du 14 juillet approche, la foule des touristes devrait s'épaissir, il va falloir quitter le Morbihan, beaucoup trop fréquenté, pour des lieux plus tranquilles, plus au nord. 

Samedi 12 juillet

Journée de transition, donc, nous quittons le sud pour l'ouest.

Premier arrêt à Auray pour le plein de GPL et quelques courses alimentaires.

Puis nous empruntons la RN 165 vers Brest. 158 kilomètres à couvrir, nous le ferons en un peu plus de deux heures, merci les 4 voies gratuites bretonnes.

Nous avons réservé au camping du Roz à Lagonna-Daoulas dans la rade de Brest. 

Petit camping 2* bien arboré, avec, à 50 mètres, un petit lagon aux eaux tempérées, pas de complexe aquatique et un personnel accueillant. 


 

Il n' est pas impossible que nous y restions quelques jours ...

La météo devient plus bretonne à partir de demain, températures en nette baisse (33° cet après-midi, il ne fait pas plus chaud ailleurs en France !) et même quelques gouttes qui seraient les bienvenues pour reverdir un peu l'herbe couleur paille.

Nous profitons des sanitaires tout proches et impeccables pour une longue toilette et finissons la journée en lézardant sur nos transats. 

Dimanche 13 juillet

Bonne nuit, seules quelques palombes amoureuses sont venu mettre un peu d' animation au petit matin.

Les températures caniculaires jumelées aux bains glacés ont eu raison de mon larynx. Je suis un peu patraque ce matin ...

Aspirine, décoction de pousses de ronce, je me soigne à l'ancienne.

Ce n' est pas aujourd'hui que je randonnerai sur le sentier côtier !

Par contre, la marée est basse vers 14 heures, et donc, dès 11 heures, je suis sur le pont, couteau d'une main, poche en plastique de l'autre, en route pour une partie de pêche à pied.

J'y passe 2 heures ce matin, une de plus cet après-midi pour une jolie récolte d'un bon kilo de palourdes, avec quelques coques et moules en bonus.


 

Et bien sur, les deux douzaines d'huîtres quotidienne, pas question de rater l'apéro breton du soir.

A midi, je cuisine les palourdes d'avant-hier avec des pâtes, recette emblématique napolitaine.

Miam ... 

Mon smartphone indiquera une distance de 2 kilomètres parcourue, les coquillages, ça se mérite !

 Je me repose le reste de l'après-midi, somnolence, lecture, somnolence ...

La température a chuté de façon spectaculaire, passant de 32 hier à 21 ce soir. La couette va enfin servir ! 

Lundi 14 juillet

Cette dernière nuit au camping fut aussi calme que la première. Nous prenons notre temps, faisons une longue toilette, profitant de l'eau chaude à gogo, puis faisons les services du Mercos.

Depart vers 10 heures 30, arrêt à Daoulas pour une visite du village et en particulier de son abbaye

 






puis stop ravito au Lidl de Plougastel, seule grande surface ouverte en ce jour férié. Nous poussons enfin jusqu'au parking de l'anse de Caro.



 Deux ou trois fourgons, quelques voitures, vraiment peu de monde pour un 14 juillet.

Encore un déjeuner italien, encore à base des palourdes ramassées hier. Cette fois, c'est risotto agrémenté d'un peu de parmesan. Pas dégueu !

14 heures, la marée est basse, donc ... 

Ici, c'est une grève, du cailloux, du galets et donc pas de coquillages. Par contre des huîtres à la toque, certaines devant peser plusieurs centaines de grammes.

J'en cueille 2 douzaines de petites pour l'apéro. 

Une bonne sieste est nécessaire pour récupérer de ces efforts, avant de partir pour une promenade sur le chemin côtier jusqu'au fort du Corbeau et retour.


 Au fond de la baie, Brest. 

 

Je mets le Mercos nez au vent, il souffle vigoureusement, et nous nous préparons pour une nuit iodée.

 Mardi 15 juillet

Une ou deux averses cette nuit, rien de bien méchant, nous sommes en Bretagne quand même ...

Deux petites heures de promenade sur le sentier côtier, avec arrêt café à crêperie locale.


 

Cette histoire d'huîtres aussi grandes que ma main m'a turlupiné depuis hier soir. On doit pouvoir les cuisiner de façon originale.

Dès que la marée est assez basse, je vais donc à la recherche de 6 de ces monstres.


 

En deux fois, je les fais ouvrir dans ma petite casserole, et je les décoquille. 

J'obtiens de petits beafsteacks d'huitres ! Hop, au frigo.

Retour à Plougastel dans l'après-midi, un petit kouign aman dans la boulangerie qui va bien,

 

puis une boîte de chapelure et un petit flacon de jus de citron au supermarché, suite de la recette demain midi, suspens!

 Nous repartons pour le bord de mer, sur la grève de Kerdrein où nous sommes seuls devant Brest et la marée montante.




 Toujours un bon vent de mer, revigorant, et une température bretonne de 23 °, c'est ce que nous étions venu chercher.

 Bonne nuit !

 Mercredi 16 juillet

Et le grand calme en plus, pas un bruit sinon celui des vagues et du vent.

Du coup, lever tardif. 

Pas de coquillages ici, les grèves sont faites de galets et de rochers. Quelques huîtres, mais nous avons décidé de faire une pose.

Deux heures de balade en boucle le long du rivage puis par la campagne avant de retrouver la cuisine du Mercos pour la recette du jour.

 







 

Nous en étions resté aux huîtres décoquillées


  Un oeuf battu et un peu de chapelure, la pöele bien chaude et garnie d'huile et de beurre, et quelques minutes de chaque côté

 



 Et on obtient de drôles de cordons bleus, a mi-chemin entre foie gras et foie de morue !

 Un bon filet de jus de citron ...



 Etonnant, bon, sans plus, mais je suis content d'avoir osé.

La sieste s'impose après un gueuleton pareil, puis nous changeons de lieu. Passant par Plougastel Daoulas, nous longeons un peu l'Elorn pour stationner au bord de celui-ci, au fond d'une petite impasse.

La mer est basse, le paysage lunaire, pas d'odeur de vase et pourtant, il y en a !

Nous chaussons de nouveau nos godillots pour une promenade le long de cet estuaire avant de nous reposer en attendant le soir.

 





 Si nous ne sommes pas rejoint par des fêtards ou des amateurs de musique, nous devrions être au calme cette nuit. 

Jeudi 17 juillet

Si ce n'est le camion-poubelles qui est venu faire demi-tour sur notre joli parking à 6 heures du mat (grrrrrr...), nous n'avons pas été dérangé.

Nous respectons notre horaire habituel en levant le camp vers 10 heures pour Landernau toute proche.

Un tour dans cette ville aux bâtiments séculaires, le commerce du lin ayant enrichi les marchands.






 Le point d'orgue de la visite, c'est le "pont habité", le seul exemplaire européen encore occupé de ce type d'habitat.

 




 Déjeuner, sieste et pêche à pied sur le parking de la plage de Pen Ar Traon à Guivapas. La baignade est possible à marée haute, mais comme elle est basse, j'en profite pour ramasser difficilement deux grosses poignées de coques.

Nous  partons ensuite pour Brest, Mamydomi a envie de visiter le Parc du conservatoire Botanique, immense jardin de 30 hectares, et de sa serre tropicale.

Nous finissons la journée à l'ouest de Brest, sur un des parkings proche du Fort du Dellec. 

Nous sommes attirés par un bruit de musique bretonne venant du fort lui-même, nous y faisons un saut mais il s'agit d'une soirée privée, on nous le fait rapidement remarquer.

Retour dans nos appartements, sur le parking supérieur, en terre et en herbe, où nous sommes seuls.

Je suis d'ailleurs étonné que, dans cette région où les spots nature, gratuits et agréables ne sont pas légion, nous soyons si peu à les fréquenter alors que la vente de vans à explosé !

Tant mieux, nous profitons au mieux de ces endroits calmes et authentiques.

Allez, dodo. 

Vendredi 18 juillet

Encore seuls sur ce pré ombragé, nuit tranquille.

Première étape ce matin, la pointe Saint Mathieu. Nous sommes déjà venu ici plusieurs fois, mais on ne s'en lasse pas.

 



 Il se dégage de cet endroit millénaire un sentiment de force et de calme, de puissance et de contemplation qui est assez ressourçant. 

 Nous faisons ensuite une halte au Conquet, lui aussi déjà visité mais méritant une petite promenade.

La brûme s'est subitement abbatu, venue de l'océan, nappant la ville et son port d'une  couche ouatée.




 

Nous allons ensuite nous garer au parking du phare de Kermorvan où nous cassons la croûte.

Après un peu de repos, nous poussons, à pied puisque c'est le seul moyen de locomotion disponible, jusqu'au site qui présente la particularité d'être le plus à l'ouest de cet côte.

 





 La journée se finit tout pès de Lanildut, dans une impasse donnant sur l'océan qui devrait faire un bivouac sympathique.

 

 

La brume a disparu et, même si le temps n'est pas très clair, on aperçoit au loin Molène et son phare.


 Le bateau pour Ouessant, lui,  commence sa traversée.

 


 Fin de cette journée très touristique, demain sera un autre jour.

Samedi 19 juillet

Encore un bon plan de bivouac, un peu aidé par Mr Quiès, deux couples un peu bruyants s'étant installé à côté de nous. 

Lever tardif, 8 heures 30, et départ pour la ballade du jour vers 10 heures, toujours par le sentier côtier, vers le nord cette fois.

La côte ici est très rocheuse, granit bien sur, en blocs ou en rochers arrondis.





 Ici et là, quelques constructions, anciennement occupées par les gardes-côtes.

 


Nous déjeunons sur place, profitons des derniers moments de météo acceptable car les prévisions sont très pessimistes pour cette fin de journée et cette nuit, pas top jusqu'à mardi midi.

 Nous cherchons donc à nous éloigner un peu du vent côtier et trouvons un petit coin tranquille à Brénes, après avoir été faire les services à Saint Rénan où l'aire est complète et très moche.

Et en effet, dès 16 heures ...
 

 



 Donc repos, lecture, repos, lecture ...

L'apéro est le bienvenu, la soupe chinoise aussi.

Un collègue nous rejoint en fin d'après-midi, il a du tenir le même raisonnement que nous. 

 Ce soir, nous serons au lit de bonne heure !

Dimanche 20 juillet

Je n'avais pas fait attention hier, mais nous sommes stationné à côté du joli cimetière du village.

Très fleuri, il s'étale devant l'église caractéristique du style breton.


Le village n'est pas très interressant, a quelques exceptions près.



 Nous avons choisi de nous rapprocher à nouveau de la côte car, après une nuit très arrosée, il semble que la météo devienne plus favorable.

Pluiseurs spots ont l'air sympathiques à Porspoder, nous y allons donc.

Surprise, il se tient ici, tout le WE, les Estivents, grande manifestations de cerf-volants, avec musique, restauration, marché artisanal etc ...

 


Bien sur, les crèpes sont à l'honneur.

 Une foule impressionnante se pressera toute la journée sur cette grande esplanade en bord d'océan, seule l'averse vers 16 heures trente sonnera la retraite.

 

 Nous aussi passerons la journée en ce lieu, profitant des animations, et nous baladant jusqu'au bout de la presqu'île de Saint Laurent.




 

Si le soleil fait de belles apparitions, le vent soutenu oblige à se couvrir.

La météo est de nouveau peu engageante pour la nuit à venir, nous décidons tout de même de bivouaquer sur place, le site désormais vide est trop beau. 


 Lundi 21 juillet

Grand calme après cette débauche de visiteurs.

Petit tour à la pêche, quelques coques dans la musette.

Il faut dire que le site donne envie !



  Arrêt obligatoire à Portsall de sinistre mémoire pour ceux d'un certain age.

L'ancre de l'Amocco Cadiz est exposée, rappelant la terrible marée noire de 1978.


 Nous allons ensuite déjeuner dans les dunes, devant la superbe plage des Trois Moutons.

La météo n'est pas favorable, pluie, rares éclaicies. Nous en profitons pour faire des courses en prenant notre temps, puis trouvons un petit coin tranquille devant la plage de Saint Cava, où nous finissons la journée.

Mardi 22 juillet.

Encore une nuit calme, seul fourgon sur ce parking un peu abrité du vent.

Je profite de la basse mer pour ajouter quelques coques dans mon panier, puis nous partons pour une promenade le long de la grève pour découvrir la phare de l'île Vierge.

Le plus haut d'Europe ( un peu plus de 82 mètres ), le plus haut du monde construit en pierres de taille, c'est pas rien !

 


Nous déjeunons sur place, puis faisons un crochet par le site de Ménéham, extrêmement touristique, mais incontournable quand on passe si près.







Nous traversons ensuite Brignogan-Plage pour bivouaquer à Plouenour-Trez au bord de la plage du Menhir.
 
Un petit tour sur cette immense plage de sable blanc au cas où quelques coquillages suicidaires s'y trouveraient, mais je reviens bredouille


  
 (C'est moi là ...)
 
Fin de journée, le soleil nous donne un spectacle son et lumière original.



Jeudi 24 juillet
 
 
Depuis hier, nous sommes entré dans la "Bretagne légumière", les champs de choux-fleurs le disputent à ceux d'artichaux, les oignons de Roscof séchent au soleil, les butternuts sont encore petits, tout ceci très industrialisé, pas de bio dans ces cultures extrêmement mécanisées.
 


 
De nouveau une nuit reposante sur ce parking où nous étions 4 véhicules aménagés.
 
  
Nous partons vers 10 heures pour stationner sur le port de Carantec. Les places y sont rares et très courtisées aussi faut-il y arriver 3 bonnes heures avant la marée basse.
En effet, c'est d'ici que l'on part pour rejoindre à pied l'ile de Calot, très visitée par les touristes.
 

 
C'est aussi un spot de pêche à pied réputé, en particulier pour les palourdes.
 
Le coéficient est faible aussi il ne faut pas s'attendre à une récolte mirlifique mais, après 4 heures et 8 kilomètres sur la plage désertée par l'océan, je ramène un bon kilo de ces coquillages.
Pas très rentable mais beaucoup de plaisir ... 
 
  
Vers 16 heures, nous repartons, faisons les services à l'aire de Carantec et finissons la journée à Mespaul où ma nièce nous reçoit dans la maison qu'elle loue à mon fils.
 
Nous allons y passer une petite semaine avant de repartir pour la maison. 
 
Encire une fois, je suis subjugué par la beauté de cette région dont, je le rappelle, ma famille paternelle est originaire.
Et en effet, chaque fois que j'y retourne, je me sens chez moi.
 
Et je puis, vous l'avez constaté, je suis devenu accro à la pêche à pied. J'y retrouve le même plaisir de la découverte que la cueillette des champignons, et la même gourmandise à cuisiner et déguster mes trouvailles.
 
Donc, vous n'avez pas fini de lire les compte-rendus de nos futures promenades bretonnes !  





 

 

 

2 commentaires:

  1. Un beau circuit, e bravo pour ces belles photos.

    RépondreSupprimer
  2. Bonsoir,
    Toujours aussi agréable de voyager en votre compagnie. Récit captivant et photos qui invitent à parcourir cette magnifique région.
    Au plaisir de vous lire lors d vos prochaines escapades!

    RépondreSupprimer